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Lire l'article du 25 mai 2006 "Sud-Ouest"

Lire l'article du 20 mai 2006 "Sud-Ouest"

Lire l'article du 21 avril 2006 "Haute Gironde"

 

Sud Ouest
Haute Gironde, jeudi 25 novembre 2004
« Histoire vache de la France folle » M.-L. G.

SAINT-PAUL Soirée théâtrale samedi pour la mise en valeur de l'église de la commune
« Histoire vache de la France folle », c'est une pièce qui revisite l'histoire de France à travers une balade burlesque et sans prétention de la compagnie l'OEil de la percée. Une compagnie créée en juin 2002, composée d'une vingtaine de comédiens professionnels et amateurs (répartis en deux ateliers à Saint-Ciers-de-Canesse et à Prignac-et-Marcamps). Ils joueront samedi soir 27 novembre à 20 h 30 dans la salle des fêtes de Saint-Paul, cette pièce déjà présentée lors du Festival de théâtre de Blaye. Cette fois, ce sera au profit de l'association que préside Michel Renaudin, l'Association pour l'entretien et la mise en valeur de l'église du village.
Pour des travaux. L'association avait fait venir l'année dernière Ricky Norton qui avait rempli l'église pour son spectacle blues et gospel. Place au théâtre cette année. Michel Renaudin rappelle que l'association pour l'entretien et la mise en valeur de l'église a été créée il y a une douzaine d'années. « Notre investissement le plus récent (2 000 euros) a occupé les six premiers mois de cette année, à savoir la réfection de l'éclairage du choeur pour mettre en valeur les voûtes. Au fil des années, nous avons aussi restauré les vitraux avec l'aide du Conseil général, créé un sas d'entrée avec porte vitrée permettant de voir l'intérieur de l'église lorsque celle-ci est fermée ».
Prochaine étape pour l'association, le remplacement du tapis du choeur mais seulement dans la foulée de la réfection de la couverture de l'église Saint-Eutrope, très endommagée depuis la tempête de 1999.


Sud Ouest
Haute Gironde, jeudi 9 juin 2005
Quatre morceaux de film en une soirée
ROSINA

TEUILLAC La troupe d'amateurs L'Oeil de la Percée a entamé au foyer rural sa tournée avec un spectacle humoristique et sensible
Qui étaient les plus heureux samedi 4, en soirée ? M. Chagourin, membre du foyer rural, très fier du renouveau des spectacles culturels dans la coquette salle municipale, dans un cadre intime à la sonorisation parfaite ? Les spectateurs venus en nombre; peut-être un peu désarçonnés par le spectacle en quatre tableaux où l'humour et la sensibilité se complétaient, tenant chacun en haleine au rythme des rebondissements ? Jean Marc Druet, metteur en scène et acteur ?
Ce dernier, en tout cas, a loué le professionnalisme de sa troupe : « Les comédiens se sont bien donnés », a-t-il souligné, remerciant Eric Cozet et Jacques Gourdon, techniciens bénévoles.
Dans « Ciné sans fil sur drôle de bobine », de Georges Berdot, on a pu voir sur scène un vieil homme, cinéaste raté, avec seulement quatre films à son palmarès dans une carrière courant sur le siècle. Au crépuscule de sa vie, il présente lui-même aux spectateurs ses quatre chefs d'oeuvre : un film muet des années 20, tendre et dur comme du Chaplin, puis la merveilleuse histoire de Sissi dans l'Europe des valses de Strauss, où l'amour triomphe enfin. Ensuite, c'est un film policier américain des années 50 avec Humprey Bogart dans le rôle principal; enfin, la 4 et dernière bobine emmenait le public à Hong Kong dans un déchaînement de karaté dans les années 90. Tous comprirent que le cinéaste espérait conquérir le haut de l'affiche avec un 5e film. Tous l'attendaient !
Prochains spectacles. Même pièce à Saint-Ciers-de-Canesse le 11 juin et à Prignac le 22 juillet. « Diablogues », de Roland Dubillard, le 17 juin, à Prignac.


Sud Ouest
Haute Gironde, mercredi 29 juin 2005
Les promesses tenues des Secoués
Martine Durand

BOURG/TAURIAC. De nombreux talents au rendez-vous de ce deuxième Festival, malgré la concurrence de la Fête de fleuve bordelaise
Le festival des Secoués vient de terminer sa deuxième édition. Le public aurait pu être certes un peu plus nombreux, mais peut-être était-ce dû à de nombreuses autres sollicitations (la Fête du fleuve à Bordeaux) ou la température écrasante. Toujours est-il que les présents ont pu apprécier le travail d'archives considérable effectué par le Cercle historique de Bourg avec le concours du Club de photo de Prignac-et-Marcamps. En effet, de nombreuses photos de Bourg montraient la configuration du village au début du siècle en comparaison avec aujourd'hui.
L'atelier Carnet de bords dévoilait lui quelques peintures de ses élèves au milieu de photographies anciennes appartenant au château des Mille Secousses; l'association Grain de sel de Bourg a présenté les danseurs de l'association Danse, plaisir, spectacle qui ont évolué sur des valses de Vienne.
Ensuite, les associations des Secoués, de l'Oeil de la percée et des ateliers du théâtre du Mascaret, emmenaient les spectateurs soit vers l'école de chant et de musique de Bourg pour entendre des chants lyriques sur une musique baroque près du château, soit près du fleuve, vers un conteur et sa danseuse qui souhaitaient charmer d'autres spectateurs.
Plus tard dans la soirée, les élèves de l'école de danse classique d'Aquitaine ont évolué sur l'acte 3 de « la Belle au bois dormant », mais il est vraiment dommage que des problèmes successifs de son, qui n'accompagnaient pas les danseurs juqu'à leurs derniers pas, aient entâché le plaisir du spectateur.
Enfin, la soirée s'est terminée en beauté avec le groupe Bordelune dont la contrebasse, la batterie, le piano et l'accordéon accompagnaient à merveille des chansons à textes festives sur un fond musical, jazzy, très agréable à écouter.